Les êtres humains sont nés nomades et ils resteront pour toujours d’éternels vagabonds dans leurs coeurs. Ils se sont installés pour plus de comfort, plus de sécurité, pour l’assurance d’avoir à manger,à boire, un toit à chaque moment...mais l’appel de la route demeure toujours là, caché, grondant sousl’épiderme.Les êtres humains sont tous aujourd’hui de grands voyageurs frustrés qui rêvent consciemment ou inconsciemment de partir. Où? Peu importe, juste partir, s’évader, partir à la rencontre denouveaux espaces, de nouveaux paysages, de nouveaux visages...Nous le sentons tous. Ce sentiment est une envie d’inconnu, d’incertain...de mystères, une addiction à l’adrénaline et à cette sensation excitante qui précède la découverte de toute chose.
Le vrai vagabond ne vole pas. Il est fidèle à la nature et n’oserait pas la tromper, lui infliger des blessures trop grandes. Les airs ne sont pas pour lui, il y préfère la route la moins voyagée, celle qui traverse les forêts, les grandes plaines sauvages, les villes polluées, les désert et les mers... Pas question de brûler 2 tonnes de C02 pour traverser l’océan dans une cabine pressurisée. Il y étoufferait. 2 tonnes, c’est un an de chauffage, 12000 kilomètres en voiture... Trop impersonnel aussi, le voyageur aime la compagnie, ilse retrouve souvent seul sur la route mais se déplace toujours accompagné d’un inconnu, un camionneur solitaire, un automobiliste sympa...un marin sans peurs. Car le vrai vagabond des temps modernes préfère le pouce au vélo, il aime partager l’intérieur d’une voiture avec l’autre et lui faire la causette des heures durant. Il se fait même souvent inviter à la maison pour continuer les discussionssouvent engagées!
Le pouce, l’auto-stop est le moyen de prédilection du vagabond, contemplateur de notre société il ne se lasse jamais de rencontrer de nouveaux esprits et de converser avec eux. Seules la marche et la byciclette permettent de voyager d’une manière plus écologique. Mais l’auto-stop est plus rapideet permet de parcourir de longues distances en abandonnant son sort au destin. Car le mystère est présent à chaque fois, lorsqu’une voiture s’arrête, c’est l’improvisation totale. On se laisse porter par l’autre en partageant ses histoires les plus folles. Faire du pouce, c’est avant tout partager, un peu, de temps, une histoire, un simple sourire, une chanson, un route qui mène vers l’inconnu. Chaque jour, des millions de voitures conduisent sur toutes les routes du monde, la majorité à moitié pleines! Tant de véhicules pour si peu de voyageurs...la planète en souffre, et nous aussi.
Malheureusement, l’auto-stop est en crise aujourd’hui. Des milliers de jeunes et moins jeunes aventuriers s’y osent encore, à braver l’inconnu du bord des routes...mais rien n’y fait, la PEUR s’est emparée de beaucoup d’automobilistes. Certains n’osent même pas jeter un oeil à cet étranger souriant dans la chaussée...Ils ont peur et les médias s’en donnent à coeur joie pour avertir les gens du danger! Gare aux inconnus sur la route! Ed Buryn disait que le vrai danger pour un vagabond est d’ouvrir les yeux, de voir lemonde comme ilest vraiment. La peur n’est qu’un pretexte pour ne pas s’ouvrir à l’autre, au monde, à se protéger derrière ses préjudices...
Dommage, la peur est bien souvent un obstacle à l’aventure, à la découverte de la différence, à l’opuverture desoi et la prise de conscience. C’est aussi un obstacle pour des instants magiques tels que ccemoment unique, celui où tu attend pour plusieurs heures sur le bord de la route ou dans une station essence. Il pleut peut-être, il fait froid ou trop chaud, la faim te ronge le ventre...cela n’importe que très peu. Tu es là, profitant de l’instant présent. Tu n’attends pas vraiment, tu sais qu’une voiture s’arrêtera, tôt ou tard, tu es juste là, le pouce tendu, un sourire dessiné sur ton visage...puis, sans prévenir, il vient, cet instant magique, tu jettes un oeil par-dessus ton épaule...une voiture s’est arrêtée. Ton coeur bat à forte allure, tes yeux brillent comme jamais. Toute la confiance que tu avait placée en l’humanité te revient de droit. La route est de nouveau ouverte, tu repars pour l’inconnu,libre...
“Dans 20 ans, tu seras plus déçu par les choses que tu n’as pas faites que celles que tu as faites. Donc, détâches les amarres. Vogue loindes port sûrs. Porte ta voile au vent. Explore. Rêve. Découvre.” Mark Twain
Le vrai vagabond ne vole pas. Il est fidèle à la nature et n’oserait pas la tromper, lui infliger des blessures trop grandes. Les airs ne sont pas pour lui, il y préfère la route la moins voyagée, celle qui traverse les forêts, les grandes plaines sauvages, les villes polluées, les désert et les mers... Pas question de brûler 2 tonnes de C02 pour traverser l’océan dans une cabine pressurisée. Il y étoufferait. 2 tonnes, c’est un an de chauffage, 12000 kilomètres en voiture... Trop impersonnel aussi, le voyageur aime la compagnie, ilse retrouve souvent seul sur la route mais se déplace toujours accompagné d’un inconnu, un camionneur solitaire, un automobiliste sympa...un marin sans peurs. Car le vrai vagabond des temps modernes préfère le pouce au vélo, il aime partager l’intérieur d’une voiture avec l’autre et lui faire la causette des heures durant. Il se fait même souvent inviter à la maison pour continuer les discussionssouvent engagées!
Le pouce, l’auto-stop est le moyen de prédilection du vagabond, contemplateur de notre société il ne se lasse jamais de rencontrer de nouveaux esprits et de converser avec eux. Seules la marche et la byciclette permettent de voyager d’une manière plus écologique. Mais l’auto-stop est plus rapideet permet de parcourir de longues distances en abandonnant son sort au destin. Car le mystère est présent à chaque fois, lorsqu’une voiture s’arrête, c’est l’improvisation totale. On se laisse porter par l’autre en partageant ses histoires les plus folles. Faire du pouce, c’est avant tout partager, un peu, de temps, une histoire, un simple sourire, une chanson, un route qui mène vers l’inconnu. Chaque jour, des millions de voitures conduisent sur toutes les routes du monde, la majorité à moitié pleines! Tant de véhicules pour si peu de voyageurs...la planète en souffre, et nous aussi.
Malheureusement, l’auto-stop est en crise aujourd’hui. Des milliers de jeunes et moins jeunes aventuriers s’y osent encore, à braver l’inconnu du bord des routes...mais rien n’y fait, la PEUR s’est emparée de beaucoup d’automobilistes. Certains n’osent même pas jeter un oeil à cet étranger souriant dans la chaussée...Ils ont peur et les médias s’en donnent à coeur joie pour avertir les gens du danger! Gare aux inconnus sur la route! Ed Buryn disait que le vrai danger pour un vagabond est d’ouvrir les yeux, de voir lemonde comme ilest vraiment. La peur n’est qu’un pretexte pour ne pas s’ouvrir à l’autre, au monde, à se protéger derrière ses préjudices...
Dommage, la peur est bien souvent un obstacle à l’aventure, à la découverte de la différence, à l’opuverture desoi et la prise de conscience. C’est aussi un obstacle pour des instants magiques tels que ccemoment unique, celui où tu attend pour plusieurs heures sur le bord de la route ou dans une station essence. Il pleut peut-être, il fait froid ou trop chaud, la faim te ronge le ventre...cela n’importe que très peu. Tu es là, profitant de l’instant présent. Tu n’attends pas vraiment, tu sais qu’une voiture s’arrêtera, tôt ou tard, tu es juste là, le pouce tendu, un sourire dessiné sur ton visage...puis, sans prévenir, il vient, cet instant magique, tu jettes un oeil par-dessus ton épaule...une voiture s’est arrêtée. Ton coeur bat à forte allure, tes yeux brillent comme jamais. Toute la confiance que tu avait placée en l’humanité te revient de droit. La route est de nouveau ouverte, tu repars pour l’inconnu,libre...
“Dans 20 ans, tu seras plus déçu par les choses que tu n’as pas faites que celles que tu as faites. Donc, détâches les amarres. Vogue loindes port sûrs. Porte ta voile au vent. Explore. Rêve. Découvre.” Mark Twain
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